Catégories : Trio libertin Femmes soumises sexuelles
il y a 8 ans
J'aurais du réaliser que c'était trop beau pour être vrai. Tout fonctionnait trop bien, trop facilement. Il devait f o r c e ment y avoir des conséquences. Mais bientôt vous verrez qu'il y en eut... C'est mon histoire...
Chapitre 1 - Ce que tu voulais...
Ma vie sexuelle avec Liz était devenue terne et ennuyante.
Ma femme était tellement belle : elle avait 24 ans, mesurait 1 mètre soixante-quatre, pesait 52 kilos et possédait un bon 95C de poitrine, avec des jambes magnifiques, un cul parfait et de long cheveux bruns légèrement frisés lui descendant jusqu'à la taille. Il n'y a vraiment pas d'autres mots pour décrire son visage fin que celui d'un ange. Son père était italien et sa mère hollandaise. Sa peau de pêche est parfaite. Des douces pupilles couleur azur, accentuées par ses longs cils vous captivant par leur promesse de douce innocence. Son nez est fin, sans défauts. Ses lèvres : larges, généreuses et rouges.
Lorsqu'elle se met à bouder, vous feriez tout ce qu'elle vous demande. Elle pourrait facilement créer des embouteillages si elle prenait des habits qui auraient mis en valeur ses formes, mais ce n'est pas son genre. Elle ne se trouve pas jolie et mes efforts pour l'en convaincre n'étaient pris que comme simples compliments obligatoires d'un tendre mari. Je vous avouerais que ce n'est pas son corps qui m'avait attiré le premier, non pas que j'ignorais sa beauté. A l'époque, j'étais fou d'amour d'une autre. Ce que j'avais remarqué en premier chez elle, s'était sa gentillesse, sa façon de plaisanter et de rire, et sa capacité à s'entendre avec tout le monde. C'est ce qui m'avait captivé.
La première fois que nous fîmes l'amour, je faillis m'étrangler de surprise, m'apercevant qu'elle possédait toutes les beautés d'une actrice porno. C'était comme une merveilleuse surprise qu'elle m'avait cachée. Le mauvais coté des choses, c'est qu'elle ne faisait pas l'amour comme une actrice. C'était gentil, doux et affectueux, mais ce n'était jamais sensuel, érotique ou animal.
Nous étions ensemble depuis deux ans et j'étais plutôt heureux. Mais très vite, j'obtins un nouveau travail et une bonne baise commençait à me manquer. La raison de ceci était probablement mon patron, Paul, ou plus particulièrement sa femme, Kathy.
Kathy avait un tempérament totalement diffèrent, elle était très provocatrice. Elle n'hésitait pas mettre son corps en valeur. Elle faisait bien 1m79, bien qu'en faisant toujours 81 avec ses chaussures à talons. Un tour de poitrine d'au moins 95 D, si ce n'est pas 100. De longues jambes sensuelles, des cheveux rouges feu qui tombaient dans son dos comme une rivière. Kathy avait des yeux verts, humides de chatte en chaleur. Tout le contraire de Liz. Ses lèvres n’étaient pas aussi généreuses que celle de Liz mais elles étaient très attirantes. Je ne pense pas les avoir jamais vues sans cet effet de brillance donnée par son son gloss à lèvre, donnant une irrésistible envie de les lécher. Elle avait quelques taches de rousseur autour de ses yeux et de son petit nez. L'effet de rougissement sur ses joues était dû à son maquillage qu'elle semblait utiliser parfaitement chaque jour. Utilisant sagement son mascara, son eye liner, même les contours et la couleur de ses lèvres était maquillées, l'un complétant l'autre. Sa tenue vestimentaire était constamment excitante, moulant ses formes sans gêne.
Elle se déplaçait comme une sirène dans l'eau, avec élégance et sans gestes brusques. Elle aimait les regards des hommes sur elle et se mettait même à jouer avec eux. Un frémissement exagéré par ci, un ajustement de sa jupe par là. Son jeu favori était de vous regarder dans les yeux, entrouvrir sa bouche et vous faire apercevoir sa petite langue. Si elle restait dans une salle plus de 5 minutes, je peux vous garantir que tous les hommes de la pièce avaient leurs pantalons déformés. Et, je savais qu'elle se donnait fréquemment à Paul car je les avais surpris un jour au boulot.
Ce fut ce jour-là que je découvris que ses visites durant l'heure du repas n’avaient pas pour seul motif de manger avec lui. Je le vis se tenir prés de son bureau. Elle était à genoux devant lui, son haut défait jusqu'à ses hanches, et son sexe en bouche. Elle le suçait comme si c'était ELLE qui y prenait du plaisir, ce qui était probable. Son membre mesurait au moins 22 centimètres et demi, au moins 4 centimètres plus grand que moi et bien plus large, ce qui était proportionné car Paul faisait 1 mètre quatre-vingt, presque 90 kilos, soit 6 centimètres de plus que moi et 15 kilos de plus.
Il était imposant et charismatique et je comprenais facilement pourquoi il était avec une fille aussi canon. Ma femme acceptait aussi de me sucer, mais elle ne le faisait pas très bien. Je n'avais jamais joui dans sa bouche et je doutais qu'elle l’accepterait si je le voulais. Sa chatte douche et étroite me satisfaisait suffisamment cependant. Quoi qu'il en soit, Paul me fit un clin d'œil discrètement alors que Kathy avalait son membre en gémissant et, ce que je m’aperçus en partant, se doigtaient, 3 doigts profondément ancrés en elle.
Un après-midi après que Kathy ait quitté le bureau, j'ai demandé à Paul comment il arrivait à la supporter. La façon dont elle s'habillait et sa façon de chauffer tout son entourage, n'était-il pas inquiet de la voir aller vers un autre ? Paul se mit à rire et me dit que Kathy ne le tromperait jamais, parce qu'elle avait besoin de son membre. En fait, il adorait l'idée de savoir tous ces hommes, fantasmer sur elle en vain.
Je lui demandai alors « Et si une queue plus grosse se montrait? »
Il se mit à rire de nouveau.
« Il y aura toujours une queue plus grosse, Jim. Le secret, c'est de les mettre dans un tel état d'excitation, et de les combler tellement chaque jour que, pour elles, c'est ton sexe qu'elles veulent parce que c'est une partie de toi. »
Il resta silencieux pendant un temps avant de me demander
« N'en est-il pas ainsi entre toi et Liz ?
- Non. » Répondis-je.
« Je veux dire, oui et non. Liz ne me tromperait jamais, en tout cas pas à cause de mon membre.
Je ne dis pas que je n'ai rien dans le pantalon, mais la mienne n'est pas aussi grosse que ces gars sur les vidéos... ou que la tienne. On s'aime beaucoup tous les deux, mais j'aimerais tellement si elle pouvait s'habiller un peu plus sensuellement et si elle assurait un peu plus au lit, mais cela ne lui ressemblerait pas. »
Paul sourit.
« Reste un peu plus longtemps après le staff, Jim.
Je te montrerais quelque chose que tu risques d'apprécier. »
Dès que l'heure de débauche sonna, je me dirigeai jusqu'à son bureau, et il éteignit les lumières et déclencha la télévision à l'aide d'une télécommande. Nous prîmes une chaise et regardâmes Ma Tendre Dame. Je n'arrivais pas à croire qu'il me faisait regarder ce film en entier. Je n'arrêtais pas de lui demander ce qu'il y avait d'intéressant mais Paul ne répondait rien et m'incitait à regarder encore, comme si quelque chose d'inattendu allait bientôt se produire. Puis, ce fut la fin. Il ralluma les lumières alors que je lui demandai d'une voix sèche.
« Bon, et alors ? »
Il arborait un grand sourire.
« Et bien... comment te sens-tu? »
J'y réfléchis un instant avant de réaliser.
« Légèrement excité. »
J’étais maintenant confus. Paul attrapa une autre vidéo et m'assura que celle-ci serait bien plus courte. Il laissa les lumières allumées. Nous regardâmes la vidéo d'une bibliothécaire coincée et obstinée qui rencontre un homme grand et charmant qui la séduit et la baise comme une chienne en manque. Elle le supplia en regardant sa queue, elle le suça, la prît dans sa chatte avant que l'homme ne s'introduise dans son cul. Elle était tellement bruyante lorsqu'il la chevauchait, beuglant des « Baise-moi! Prends-moi comme une putain! Je suis ta chienne! »
La vidéo n'avait duré qu'une demi-heure. J'aurais aimé que la durée de cette dernière et de la précédente aient été échangés.
« Et maintenant, comment te sens-tu? » Demanda-il.
« Gonflé à bloc, qu'est ce que tu crois? »
« Prend Ma Tendre Dame et regarde la avec ta femme. La deuxième vidéo est, en fait, ensellée dans la première. Toutes deux ont le même thème. Une femme est transformée. Ma Tendre Dame permet d'améliorer ses désirs, d'apprécier et d’aimer son homme. L'autre augmente son désir sexuel, sa passion et la transforme également en esclave sexuelle à celui qui satisfait ses désirs. »
Je n'arrivais pas à croire ce que j'entendais.
« Et tout ce qu'elle a à faire pour changer, c'est de regarder cette vidéo ? »
« Et bien, ce n'est pas aussi simple » Répliqua-t-il.
« Elle doit la regarder plusieurs fois. Les changements viendront progressivement mais tu verras les résultats au bout d'une semaine, je te le garantis. C'est le temps que cela a pris pour Kathy. »
-
Kathy ?
-
Ouais. Elle était aussi conservatrice que Liz.
-
Mais, comment je vais lui faire regarder constamment ?
-
Cette idée est également dans la cassette. Si tu peux lui faire regarder deux ou trois fois, alors elle utilisera son temps libre soit à te faire l'amour, soit à regarder la vidéo. Dans les deux cas, tu es gagnant.
Je remerciai Paul à plusieurs reprises et ramenai la vidéo pour la regarder avec Liz. La première nuit, nous firent l'amour avant d'aller nous coucher. Il n'y eut évidemment aucun changement. Je me convainquis qu'il n'y en aurait jamais, mais j'espérais secrètement que quelques parties de la vidéo allait marcher. La nuit d'après, je la remis en prétextant qu'il n'y avait rien d'intéressant sur les chaines actuellement.
Elle s'assit à mes cotés et je vis qu'elle modifiait sa position à chaque fois qu'Eliza faisait un pas de plus vers son titre de Dame. Etait-ce intentionnel ou bien était-ce à ces endroits que Paul avait rajouté les vidéos de sexe subliminal que nous avions regardé ? Cela paraissait sensé.
De retour dans la chambre à coucher, je fis exprès de ne rien commencer. Alors que nous étions étendus, elle se colla à moi, comme à l'accoutumée, mais ses mains semblèrent tomber sur mon membre, alors qu'il était coincé dans mon pyjama. Nous restâmes silencieux pendant quelques temps. Je fis semblant de m'endormir. Rapidement ses doigts s'entourèrent sur ma bite et sa main me serra gentiment.
Mon sexe trembla puis grossit. Je tins mes résolutions et ne fit aucun mouvement. Elle poussa sa chance et commença à me masturber. Lorsque je me tournai finalement face à elle, elle se rapprocha de mon visage pour m'embrasser. Je la serrai contre moi, pressant mon sexe contre elle. Ses bras m'entourèrent et son bassin se frotta à moi gentiment. Mon pantalon de pyjama disparut rapidement et Liz se mit sur moi, me faisant entrer en elle avec expertise. Nous commencions avec notre rythme habituel. Liz était magnifique avec ses cheveux flottants contre ses épaules et ses seins retenus dans sa nuisette. Je déteste ces soutiens-gorge serrés qu'elle portait toujours, pressant ses seins contre elle. Elle posa ses mains sur mon torse afin d'amplifier le mouvement.
Etait-elle plus attentionnée que les autres soirs? J'espérais tellement voir un indice me prouvant que cette vidéo marcherait que chacun de ses mouvements me semblait être des signes. Ses gémissements semblaient plus forts, ses mouvements accentués, son visage en manque. Je tins plus longtemps qu'à mon habitude à cause de toutes ces pensées. Elle jouit trois fois avant que je ne me vide en elle.
Elle m'embrassa amoureusement après s'être nettoyée et être revenue au lit. « Tu étais superbe ce soir mon cœur. » M'annonça-t-elle.
Elle reprit sa position, logée contre mon torse, sa main cette fois contre ma poitrine. Le jour suivant, je l'appelais depuis le boulot dans la matinée. Elle nettoyait la maison mais je pouvais entendre la cassette tourner au fond. Lorsque je fus de retour à la maison elle me surprit avec un diner aux chandelles. Lorsque je lui demandais pour quelle raison, elle me demanda pourquoi il devrait y avoir une raison.
Elle sortit des fraises et de la crème chantilly pour le dessert et me surprit de nouveau en s'asseyant sur mes cuisses pour apporter la nourriture à ma bouche. Lorsqu'elle prit une fraise enrobée de chantilly et l'apporta à sa bouche, léchant la crème avant de l'engouffrer sensuellement entre ses lèvres, je ne tins plus. Je la pris et l'amena en haut jusqu'à notre chambre, la jetant sur le lit avant de l'attaquer. Elle rigolait bêtement lorsque je me dépêchais de lui retirer sa robe.
« Qu'est ce que j'ai dit ? » Me taquina-t-elle.
J'étais resté tendre les deux nuits précédentes, mais le petit spectacle m'avait vaincu. J'étais sous le coup d'une pulsion. Je me mis à téter ses seins avec f o r c e , les serrant fortement.
« Ohh, Qu'est ce qui te prend cette nuit ? » me demanda-t-elle, mais elle retirait mon pantalon avec la même urgence que la mienne. Je l'aidais à me défaire de mon pantalon avant de glisser jusqu'à sa chatte qui était trempée. Je ne lui fis pas l'amour. Cette nuit là, je la baisais. Elle ne protesta pas ni tenta de me calmer. Elle m'encourageait et fit de son mieux pour suivre le rythme.
« Oh oui, Jim c'est Boon... » Miaula-t-elle.
« Ca ne te ressemble pas.
- Tu préfères que j'arrête ? » Demandais-je.
« Non... » Souffla-t-elle.
« C'est juste je ne m'atte...m'attendais...uuugggghhhh »
L'entendre jouir aussi fortement me f o r ç a t à la baiser encore plus fort.
« Jim, ralentis. » Haleta-t-elle.
« Je viens juste de jouir. Je suis sens...sensi...oh...Oh....OH....PUTAAAIIN! »
Elle fut terrassée par un nouvelle orgasme, avant que poser sa main sur sa bouche, réalisant ce qu'elle avait dit.
« Je… suis désolée. »
Je ralentis afin de la laisser récupérer de sa jouissance et lui sourit.
« C'est pas grave si tu jures de plaisir. » Lui dis-je.
« Cela me prouve que je fais du bon boulot. »
-
Jim, tu fais un excellent boulot. Tu es sûr que tu n'es pas vexé ?
-
Ce 'Putain' était sans doute le meilleur compliment que tu m'aies jamais donné au lit. » Remarquais-je.
« L'orgasme a du être intense. »
Elle acquiesça, souriante.
« Immense ! »
- Et bien, voyons si je peux t'en donner un autre, d'accord ? »
Son visage se crispât légèrement.
« Oh Jim, je ne sais pas si je pourrais en...UGH! »
Je ne lui laissai pas le temps de finir, la ramonant virilement. Sa tête se balançait en arrière et ses doigts se crispèrent sur mes fesses. Je me mis à embrasser et lécher son cou tout en continuant mes va-et-vient.
« Mon Dieu! Jim, je t'aime tellement!! » Geignait-elle.
« - Je t'aime aussi, mon cœur. » Lui assurais-je.
Je nous fis tourner sur le lit pour qu'elle se mette sur moi puis, pris par une envie machiavélique, j’arrêtais mes mouvements de bassin. Elle me regarda, paniquée, restant immobile pendant un instant. Puis elle commença à faire bouger ses hanches presque v i o l emment.
« Oh Oui, Oui, Oh Oui » chantait-elle.
Si j'avais encore des doutes concernant la vidéo, ils disparurent instantanément. Je ne l'avais jamais vu ainsi. Elle semblait possédée. Elle avait vraiment besoin de jouir et comptait utiliser mon corps pour y parvenir. Elle gémissait, pantelait. Son corps brillait de sa sueur. Ses yeux étaient remplis de désir.
« Jim, pitié, aide-moi. » m'implorait-elle.
« J'y suis presque... »
Je pris ses hanches et me mis à la prendre aussi fortement et rapidement que je le pus.
« Ho Putain Oui, Oui OUI! » Hurla-t-elle, sans s'arrêter de me baiser.
« Putain, Putain! PUTAIN! »
Elle ne put continuer lorsque son orgasme la terrassa, l'empêchant de bouger. Son corps s'écroula contre moi, son visage disparaissant contre mon épaule. Chacune de ses inspirations profondes pressant sa poitrine contre mon torse. Finalement, elle se releva pour me regarder, fatiguée.
« Je vais te servir des fraises plus souvent. » Sourit-elle.
Nous furent pris d'un fou rire.
Après s'être reposés dans les bras l’un de l'autre pendant près d'une demi-heure, Liz se leva et rapporta les fraises à la chantilly. Nous mangions, en continuant de parler avant de se déposer de la chantilly sur nos corps avant de le lécher. Nous avons fait l'amour encore deux fois avant de nous coucher. 'Putain' était maintenant devenu sa façon d'annoncer son orgasme imminent. La parole n'avait jamais était courante dans notre relation. J'aimais la tournure que prenaient les événements.
Le jour suivant elle me sauta dessus dès mon arrivée, vêtue uniquement de ses sous-vêtements.
« Je n'ai pas arrêté de penser à toi toute la journée." Affirma-t-elle en se démenant pour me retirer mes vêtements.
« J'imaginais ton corps et ta queue. J'ai vraiment besoin d'une bonne bourre.
- Une quoi ? » Dis-je, interloqué.
Je ne l'avais jamais entendu dire cela. Nous n'avons pas pu aller à la chambre. Elle se pressa de reculer en retirant ses sous-vêtements après avoir ouvert la braguette de mon pantalon. Je me pressais de retirer le reste lorsque nous parvinrent à l'escalier. Elle réussit à monter quelques marches avant que je perde mon équilibre et tombe sur elle, mon visage touchant sa toison humide.
Elle me traita de maladroit et éclata de rire pendant quelques secondes avant que ses yeux s'écarquillent et que ses mains atteignent mes cheveux, tandis que ma langue commençait à s'occuper d'elle. Elle m'avait toujours empêché de faire cela dans le passé, mais cette fois elle pressait ma tête contre son vagin.
« Oh Jim, qu'est ce que tu me fais ?! » gémissait-elle.
Ses jambes s'écartèrent, m'invitant à continuer. Mes mains parcourraient son cul et ses jambes. Je goûtais le jus intime de ma femme pour la première fois, et je comptais bien le savourer.
« Ohhh, ce n'est pas bien. » Susurrait-elle.
« Pas... correct...
- Correct ? Tu veux du correct ? »
Je plongeais deux doigts dans sa chatte. Un moment plus tard, un autre pénétrait son derrière, qui se soulevait lorsque son corps s'arqua. Je continuais de la dévorer.
« PUUTAAAIINN! « S'égosilla-t-elle, si puissamment que je crus que les voisins pourraient l'entendre. Son corps trembla pendant quelques minutes. Puis elle se pressa contre moi fermement.
« En moi. Prends-moi. Oh, vas-y Jim, baise-moi! »
Je ne me le fis pas répéter. Je l'ai baisée sur les escaliers. Je savourais cet instant magique, cette femme ravissante se faire baiser dans les escaliers comme une star du porno.
« Comme ca ! Baise-moi! Oh Oui! C'est boonn! Ohhh, ta queue est si bonne ! »
C'était ma star porno. J’étais aux anges. Cela ne faisait pas une semaine et j'avais la femme de mes rêves. Tout cela m'excitait beaucoup trop. Je me déversais en elle. Me sentant me répandre en elle, elle m'entoura de ses cuisses.
« Jouis pour moi, chéri ! » Roucoula-t-elle.
« J'adore te sentir venir en moi. Cela me montre que je te plais.
Je la regardai.
- Pourtant, je n'ai jamais joui en toi. »
Elle souriait.
« C'est diffèrent. Nous n'avions pas baisés auparavant. »
Mes yeux s'écarquillèrent, elle cilla.
« Ne t'en fais pas. Je ne suis pas naïve. Je connais la différence. Mais nous allons aussi faire l'amour de temps en temps, n'est ce pas ? »
Je l'embrassai amoureusement.
« Je te le promets.
- Par Saint Jove, je pense qu'elle a saisi ! » Annonça la télé.
Je me tournai pour voir la cassette continuer de tourner.
Nous avons mangés rapidement, puis avons regardé la cassette. J’étais surpris qu'elle ne fasse pas attention au fait qu'elle la regardait à présent constamment. Je m'en fichais autant qu'elle, d'ailleurs, connaissant ses effets sur elle. Elle n'y faisait même plus attention, et elle continuait de la regarder distraitement, même si elle était sur mes cuisses, ma queue incrustée en elle. Je ne pouvais pas bien voir la vidéo, son corps me bloquant la vue, mais j'en m'en fichais. Je me contentais de m'occuper de ses seins et d'apprécier l'instant présent.
Elle m'annonça qu'elle était fatiguée lorsque nous sommes allés au lit. Elle s'était écartée un peu de moi pour se reposer. J'étais toujours excité et je me collai à son dos. Mon sexe était bandé alors que je m’insérais doucement en elle.
« Jim..... » murmura-t-elle.
Je me rapprochai encore alors que mon membre avançait plus profondément. Elle ricana gentiment avant de s'écarter un peu. Je me rapprochai encore d'elle. Elle tenta de me faire reculer, mais cela ne fit que me faire entrer plus profondément en elle, presque jusqu'à la garde.
« Jim... » Continua-t-elle, cette fois d'un ton plus pressé.
« Oui, chérie ?
- Ne me taquine pas. Si tu veux me baiser, baise-moi. »
Je l'entourai de mes bras et entrai fortement en elle. Un de ses pieds se releva afin de me donner plus ample accès.
« Tu es insatiable. » Dit-elle, entre deux gémissements.
« C'est de ta faute.
- Prends mes seins. »
Je le fis.
« Plus fort. »
Je le fis.
« Oh oui. Baise-moi, mon amour, baise moi à fond. »
Je la pilonnais comme je pus. Je voulais qu'elle y prenne beaucoup de plaisir, puisqu'au départ, elle voulait juste dormir. Lorsque le premier « PUTAIN! » sortit de ses lèvres, je baissais ma main afin de titiller son clitoris. Elle devint folle. « OUI! » cria-t-elle avant de perdre sa voix momentanément. Je la baisai de mouvements circulaires afin que mes doigts sur son clitoris puissent imiter les mouvements.
« PUUUTAIIN ! » cria-t-elle alors qu'un second orgasme la frappa. Cela ne me suffisait pas. Je continuais de la prendre avec f o r c e . Elle tenta de s'écarter et m'arrêter.
« Jim qu'est... qu'est ce que...t...tu...ohhhhh....Mon.....mon.......Je....je...... OH PUTAAAAAAIN ! »
Je ralentissais après que son orgasme l'eut terrassée et la laissai reprendre son souffle. Lorsqu'elle reprit le contrôle de son corps elle se tourna pour m'embrasser, tentant de faire entrer sa langue aussi loin qu'elle le pouvait dans ma bouche. Je compris qu'elle me remerciait.
« Je t'aime ! » S'exclama-t-elle.
« Je t'aime tant. » Puis elle s'immobilisa, un regard inquiet sur le visage.
« Tu... Tu n'as pas joui !
- J'ai eu ce que je voulais » Lui dis-je honnêtement.
« Oh non ! » Se rebella-t-elle.
La chose que je me souviens ensuite, c'est que sa tête disparut sous les couvertures, puis je sentis la chaleur de sa bouche entourer ma queue. Liz ne m'avait jamais sucé avant, mais il semblait qu'elle ne veuille vraiment pas me laisser m'endormir sans avoir joui aussi, alors qu'elle-même avait eu un orgasme dévastateur. Je fus abasourdi de voir à quelle point elle y arrivait. Cela semblait naturel chez elle. Ses mains complétaient les mouvements de sa bouche. Elle savait s'arrêter avant de me mordre avec ses dents. Je me répandis dans sa bouche en moins d'une minute. Je m'attendais à ce qu'elle s'écarte, mais elle me garda en bouche et me lécha jusqu'à ce que mon sperme sorte. J'en sentis quelque peu sortir de sa bouche. Un instant plus tard, elle réapparut à mes côtés.
« Tu n'étais pas obligée d'avaler. » Lui dis-je.
« Je ne voulais pas avoir à nettoyer ensuite. » Répliqua-t-elle simplement.
Je ne pus me retenir de rire.
C'était la première pipe que me donnait ma femme. La seconde fut au réveil, le lendemain matin. Il n'y a pas de meilleur réveil que celui d'ouvrir ses yeux et de voir une charmante femme faisant coulisser sa tête le long de votre engin en souriant comme si elle aimait cela.
Après avoir joui de nouveau dans sa bouche, je pris une douche. Elle me rejoint rapidement et s'occupa de me redonner une rigidité convenable afin que je puisse la baiser sous l'eau chaude. J'étais presque trop fatigué pour retourner au boulot, mais je savais que si je restais, elle allait encore chercher à ce que je la baise.
Ce fut de mieux en mieux. Nous baisions toutes les nuits, souvent plusieurs fois d'affilée. Ses tenues de tous les jours changèrent. Elle commença à s'habiller plus sensuellement, comme si elle était devenue une nouvelle femme. Lorsque je plongeais ma queue en elle me demandait de la prendre comme une salope, et se traita elle-même de chienne. Elle me demandait aussi de la prendre par derrière et je fus surpris de voir avec quelle facilité j’entrais en elle.
Elle écartait ses fesses pour m'aider. Et ses fellations pouvaient me faire jouir en deux minutes, si elle le voulait. Mais elle aimait jouer avec mon membre raide, me garder au bord de la jouissance pendant un long moment. Lorsque j'éjaculais, ou bien elle avalait ma semence, ou elle libérait ma queue afin que je lui jute sur le visage et sur ses seins. Elle aimait vraiment ça. La chose la plus étrange, c'est que je pensais que cela en ferait ma soumise mais ce fut le contraire. Elle avait besoin de ma queue et la demandait, bien sur, et j’étais plus que volontaire, mais elle faisait souvent en sorte de m'allonger afin qu'elle puisse me chevaucher ou lui manger la chatte. Elle savait ce qu'elle voulait et comment elle le voulait. Je la laissai prendre le contrôle sans problème.
Une nuit, après qu'elle m'ait complètement épuisé et que je lui eu dit que j'en avais eu assez pour ce soir, je me levais à cause de bruits au rez-de-chaussée. Je me tournai vers elle, et rencontrai une place vide. Je descendis en faisant attention de ne pas faire de bruit et la trouvai en train de regarder Ma Tendre Dame, se masturbant comme une folle.
C'était si beau. Je la regardais pendant un long moment avant de me rendre compte que je me caressais également. Je finis de descendre et mis mon membre en face de son visage. Lorsqu'elle le vit elle haleta de joie et l'avala, me suçant comme si sa vie en dépendait. Je dus finalement m'écarter d'elle parce que je savais qu'elle voulait être baisée. Bien qu'elle ait développé un grand appétit pour mon sperme, si je la laissais avaler ma semence, il n'y aurait aucun moyen de lui donner ce qu'elle voulait.
Le mauvais côté de tout ça, c'est qu'elle commençait à se détacher de nos baises constantes mais je me disais que ce n'était pas si important. Quoi qu'il en soit je décidais de rendre la vidéo après cette nuit. Je pourrais toujours l'emprunter de nouveau si elle commençait à redevenir comme avant.
J’arrivais au bureau de Paul juste avant le repas du jour suivant. Il était déjà parti manger. J'entrai et ouvris l'armoire qu'où il l'avait pris. Il y avait un paquet de vidéos. Je parcourus les titres des yeux. Ma Tendre Dame (encore), Lucie, Janice, Carole, Vanessa. Vanessa ? C'était la secrétaire sexy de Paul ! Une jolie blonde qui n'avait certainement pas été embauchée pour ses talents au clavier. Avait-il fait regarder Ma Tendre Dame à toutes ces femmes ? Puisque le repas avait juste débuté, je retournai d'abord à l'entrée pour verrouiller la porte, puis fis démarrer la cassette. C'était certainement Vanessa entrant dans son bureau sur l'écran.
« En as-tu besoin ? » L'entendis-je demander.
« Oui, s'il vous plait, j'en ai besoin. » Répondit-elle, sa main caressant son cou.
« Et que dis-tu ?
- S'il vous plait, Monsieur. Baisez-moi ! Baisez votre petite chienne ! »
Paul entra dans le champ de la camera et commença à l'embrasser. C'était intense, elle gémit sous ses lèvres. Je me sentais moi-même raidir. Vanessa déboutonna sa chemise et fit de son mieux pour la retirer. Sa propre robe tomba au sol, révélant une paire de sous-vêtements bleus.
« Oh oui ! » Gémit-elle.
« Votre toucher me rend folle. »
Elle s'en prit à son pantalon, se mettant à genoux pour le retirer, avant de baisser son slip et commencer à le sucer. C'était une habituée, léchant sa grandeur avant de l'avaler. Elle réussit à prendre ses 22 centimètres dans sa gorge, le faisant jouir dans sa bouche. Elle avala tout. Puis il la fit s'allonger pour lécher sa chatte. Elle jouit trois fois sous ce traitement avant qu'il ne la relève. Je regardais attentivement comment il faisait pour l'avenir. A ce moment précis il était a demi tendu et il la fit le sucer à nouveau pour être enfin bien dur.
« Ou le veut-tu, salope ? » Demanda-il.
« Mon cul, Monsieur. S'il vous plait prenez mon cul ! J'adore vous sentir dans mon cul ! »
Il ne perdit pas son temps, plongea son membre en elle. Elle hurla mais balança ses hanches à sa rencontre. Ils prirent un rythme soutenu et s'envoyèrent en l'air à vive allure. Elle continuait de lui dire de la prendre à fond. Elle disait qu'elle était sa chienne, sa salope. Elle voulait sentir son sperme. Et il le lui donna, dans son agréable cul. Il se retira ensuite et elle se pressa de se retourner pour le nettoyer.
J'avais attrapé des lingettes sur son bureau et m'étais répandu dessus. Retirant la vidéo, j'en attrapais une seconde : Lucie. Je me rappelais que Stéphane, un de mes collègues avait une femme du nom de Lucie. La vidéo démarra. Une sueur froide me parcourut l'échine lorsque la camera se pointa à la porte de la maison de Stéphane, alors que sa femme, Lucie, ouvrit la porte. Son visage s'éclaira. « Oh enfin! Vous êtes là ! Je devenais folle à attendre. »
Elle fut attrapée par les cheveux et envoyée dans la maison, mais pas par Paul, mais par Kathy.
« Ouais, ouais, on sait, petite conne. » Répliqua-t-elle, méprisante.
« Maintenant ferme-la et mets-toi à genoux. Ma chatte a besoin d'être léchée. »
Lucie se pressa d'obtempérer alors que Kathy relevait sa jupe pour révéler une chatte rasée sans sous-vêtements. Lucy commença sa besogne immédiatement. Mon esprit n'avait pas encore compris toutes les implications de cette vidéo. J’étais trop h y p n o t i s é par la vue de ces deux femmes. Kathy, se déshabillant, pendant que Lucie la léchait, ses halètements faisant bouger ses seins nus me faisant presque jouir à nouveau. Elle avait un vrai corps de célébrité. Elle releva Lucie jusqu'à sa poitrine et Lucie se mit immédiatement à sucer et caresser ses deux monts. Ce que j'aurais voulut être à la place de Lucy. Puis la camera bougea dans la pièce gardant les filles en avant, avant d'être placée sur une table. Paul entra dans le champ de vision.
« Kathy, suce-moi pendant que la soumise retire ses vêtements. »
« Oui Monsieur. » Répondit Kathy en se mettant elle aussi à genoux. Je remarquais un changement chez elle. Pour Lucie, elle était la salope dominatrice, mais pour Paul elle était une soumise obéissante. Lucie se mis à nue et les filles se mirent en 69, Lucie au dessus. Paul se mit derrière elle et plongea son membre dans sa chatte.
« Oh oui, Maitre » Geignait-elle.
« Baisez ma chatte. Votre soumise aime Votre grosse queue !
- Ferme-la et lèche mon clito, salope ! » S'écria Kathy, et Lucie retourna à sa tâche.
Ce fut à cet instant que je remarquais l'horloge dans la pièce. 12h15. Il avait passé l'heure du repas à baiser la femme de Stéphane. Je compris enfin. m e r d e ! Liz !
Je ne pris même pas le temps d'arrêter la vidéo. Je fus dehors en un instant, en direction de la maison. Lorsque j'arrivai enfin, la voiture de Paul était dans l'allée. Mon cœur battait à tout rompre. Je ne pouvais pas avaler ma salive. Comment avait-il pu me faire ça? Je me mis à la fenêtre et ne put en croire mes yeux. Liz était à quatre pattes, suçant Paul comme une vraie salope alors que Kathy lui défonçait la chatte avec un gode-ceinture. Aussi choqué que je fus la scène m'excitait. Je me tournai, plein de colère. J'ouvris la porte à la volée.
« Qu'est ce que vous pensez être en train de faire, bordel ? » Gueulais-je.
Tout trois se tournèrent vers moi, mais mon entrée eut l'air de les rassurer.
« Oh, c'est toi, Jim » plaisanta Paul.
« Pendant un instant, j'ai eu peur. Ferme la porte et rapproche-toi. »
Je fermis la porte, surpris qu'il puisse être aussi calme.
« Liz ! Arrête de sucer ce connard ! Immédiatement ! » Criai-je.
Liz leva les yeux vers Paul qui secoua la tête, et elle recommença à le sucer, m'oubliant totalement.
Je ne pouvais pas y croire.
« Eloigne-toi de ma femme, espèce d'enfoiré ou sinon je…
- Ou tu feras quoi, Jim ? Tu vas me tuer ? Si c'est ce que tu voulais tu l'aurais déjà fait. Assied-toi. »
Je m'assis, et ce fut à cet instant que je commençais à vraiment m'inquiéter de ce qui ce passait. Pourquoi m'étais-je assis ?
« A présent, regarde et ne te lève pas. » Ordonna-t-il.
Kathy continuait de la ramoner et je regardai Liz avoir deux orgasmes avant que Paul ne lâche sa semence dans ses cheveux et sur sa tête. Elle récupéra le tout avec ses doigts et l'avala. Elle sourit jusqu’aux oreilles.
« Merci, Maitre. »
« Nettoie ma queue, soumise, mais n'avale rien. » ordonna-t-il, ce à quoi elle obéit.
« A présent partage mon sperme avec ton mari. »
Liz vint jusqu'à moi et commença à m'embrasser. Je goutais au sperme de Paul. Je voulais la repousser mais je ne pouvais pas bouger d'un poil. Je gémis de dégout.
« Oh, allez, Jim » Dit-il.
« Tu l'as gouté assez souvent lorsque tu rentrais du boulot ! »
Je ne pouvais croire ce que j'entendais.
« Qu'est ce que tu m'as fait ?
-
Hé, TU as regardé la vidéo.
-
Juste une ou deux fois.
-
Plus souvent que tu ne te l'imagines. Simplement tu ne t'en souviens pas. Cela marche comme ça. La première fois, c'était l'intrusion. Ce n'est pas la même vidéo que celle que tu as ramené à la maison. Et le porno que je t'avais déjà montré a favorisé la suite. Toutes les vidéos subliminales que tu as regardées te font supposer que je suis le Maitre et que tu devrais m'écouter et faire tout ce que je te dis. Et bien sur leurs effets sur moi me font juste aimer plus le contrôle. Je t'ai donné des suggestions et fait oublier des choses depuis quelques temps. Tu ne te souviens même pas les repas que tu as passé dans mon bureau en tant que petit chien personnel de Kathy, passant ton temps à lécher ses pieds et sa chatte, te faire fouetter par elle et enculer par son ami ici présent. »
Il pointa le gode-ceinture du doigt. Ce ne pouvait pas être vrai me dis-je.
« Tu ne peux pas obliger les gens à faire ce qui est contre leur nature ! » Hurlais-je.
« C'est vrai. » acquiesça-t-il.
« Heureusement pour nous que tu sois de nature assez soumise. Il n'y pas de doute à avoir lorsque l'on voit ta queue. »
Liz ouvrit mon pantalon et ma queue se dressa. J’étais très dur. Etre dans cette situation humiliante m'excitait. Paul eu un regard mauvais.
« J'adore la chatte de ta femme, elle est si serrée. »
Et je compris bien vite pourquoi elle se désintéressait de nos baises quotidiennes, pourquoi je l'avais prise par derrière aussi facilement. Il l'avait nourri de sa queue depuis des semaines maintenant. Je ne voulais pas penser à ce que j'avais provoqué. Et pour empirer les choses, Liz s'allongeait sur son dos. Il la surmonta, sa queue proche de sa chatte trempée. Lui aussi, était dur comme roche à la vue de son pouvoir. Il la regarda dans les yeux.
« Que veux-tu, petite chienne ?
-
Je veux votre sexe, Maître. S'il Vous plait, baisez-moi.
-
Mais ton mari est juste ici ? Ne préférerais-tu pas que ce soit LUI qui te baise ? »
Elle secoua la tête.
« Il ne peut me donner autant de plaisir que Vous. Il est si faible et inutile, ce n'est pas un vrai homme comme Vous. J'ai détesté prétendre aimer qu'il me baise. Pitié, Maître, baisez Votre soumise en manque, je ferais tout pour Votre sexe.
-
Veux-tu te faire prendre devant lui ?
-
Montrez-lui comment un vrai homme fait plaisir a une femme. Pitié, Maître, j'ai besoin de votre sexe en moi.
-
Jim. » Dit-il, me regardant à nouveau.
« Ta femme veut que je la prenne mais je pense avoir besoin de ton accord. »
Je ne pouvais pas imaginer à quel jeu il jouait.
« Va te faire foutre ! Tu ne l'auras jamais ! »
Paul sourit encore. Je déteste ce sourire.
« Je prendrais tes gestes pour un accord. Si tu mets ma queue dans la chatte de cette chienne alors j'aurais ton accord.
- Je ne ferais jamais cela ! » Lançais-je.
« Jim, viens mettre ma queue dans la chatte de ta femme. »
Je quittai le canapé et m'approchais d'eux. Il semblerait que ma bouche soit la seule chose que je contrôle.
« Arrête ça tout de suite, enfoiré ! » Criai-je alors que je m'agenouillai et pris sa queue en main. Les deux femmes haletèrent à cette vue. Kathy avait actuellement une main sous son gode entrain de se caresser doucement. Sa queue était tellement plus grosse que la mienne. Je le guidai jusqu'à l'entrée du vagin de ma femme. Elle gémit au contact. Je le suppliais.
« Pitié, ne me fais pas faire ça. »
Mais personne ne semblait m'entendre. Je commençais à la faire pénétrer, centimètre par centimètre en Liz, qui miaulait comme un chaton. Lorsque je la fis entrer à la moitié, il lança : « Merci pour ton accord, Jim. A présent lève-toi et regarde. Ne bouge pas. »
Je me levai et regardai alors qu'il la défonçait de plus en plus vite, entrant de plus en plus profondément dans la chatte de ma femme bien-aimée. Ma queue était devenue si dure qu'elle m'en faisait mal. Je voulais me caresser mais je ne pouvais pas bouger. Liz ballottait sa tête d'avant en arrière sans arrêt, hurlant « Baisez-moi, Oh Oui... C'est si bon! Oui! Oui! Oui! »
Kathy vint vers moi, pour me tourmenter, me donna une lichette sensuelle sur mon gland frissonnant.
« Il a utilisé la vidéo sur toi aussi, tu sais. » Lui dis-je. "Tu n’es pas vraiment comme ça. Je peux t'aider à t'échapper, redevenir qui tu étais. »
Elle éclata de rire, fortement amusée.
« Jim, mon chéri, j'ai toujours été ainsi. Paul t'a simplement dit ce que tu avais besoin d'entendre pour que tu fasses ce qu'il voulait. »
M e r d e !
Liz, elle, semblait au paradis, couinant comme une pute. Je suppose qu'elle en ETAIT une à présent. Paul continuait de me regarder en souriant. A la fin il annonça.
« Je vais jouir, soumise. »
Liz cria.
« Déversez-vous en moi, Maître, Plus loin que Jim. Remplissez-moi de votre foutre ! Pitié, je veux vos bébés ! »
Je ne pouvais croire ce que j'entendais. Elle me regardait même lorsqu'elle le disait. Elle le disait pour me casser, pour me montrer à qui elle appartenait et à quel point. Puis Kathy me lécha encore et je faillis me rependre. Paul se déversa dans la chatte impatiente de Liz qui jouit pour la quatrième fois depuis qu'il avait commencé à la défoncer. Il sortit et elle le nettoya. Lorsqu'il se releva Kathy se pressa jusqu'à la chatte de Liz et commença à y récupérer le sperme de son mari, faisant ronronner Liz de plaisir. Je regardais encore lorsque ma femme subit une nouvelle jouissance de la léchouille experte de Kathy. Paul vint jusqu'à moi et attrapa ma queue. Je n'y comprenais rien.
« Tu veux voir un joli tour ? » Demanda-t-il.
Je fis non de la tête. Il me regarda profondément dans les yeux et dit : « Jouis ! »
J'éjaculai avec tant de f o r c e que j'en reçus sur le visage. Paul éclata de rire en s'éloignant.
« Ha ha. J'adore faire ça ! »
Je ne pouvais qu'imaginer ce qui viendrait ensuite...
DarknessMaster
PRECISIONS
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Toutes les soumises ne sont PAS soumises sexuelles.
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